Au beau milieu d'un quartier en périphérie de l'astroport de Babylone, Empy, les jambes allongées sur la petite table d'un café pittoresque, tentait de faire tous les efforts du monde pour déguster le mufffin le plus dégueulasse qui lui ait été donné de manger. Il aurrait pourtant dut se douter du piège, en approchant du batiment où l'enseigne disait "A la bonne petite patissière". C'était pourtant vrai, personne ne cuisinait plus jamais sa nourriture lui même, surtout pour un putin de Muffin. Cependant, il était averti, et la prochaine fois qu'il verrait l'affiche d'une petite patissière terrienne de 17 ans en petite culotte, des brioches représentant ses formes savoureuses, et servant des clients qui lui plottaient les fesses, il ne partirait pas dans la direction indiqué. Pourtant, il avait voulut voir de quoi il en ressortait. Et c'était donc diriger vers la dite patisserie qui recélait de nombreux clients.
*Tout ça pour une petite pucelle à demi à poil sur un poster*
Malheureusement pour lui, Emp se rendit vite compte, aprè avoir choisit une table confortable, que la chose la plus excitante ici était une bourgeoise d'un metre et demi sur deux en train de s'empiffrer de patisseries qui lui dégoulinait abondament autour de la bouche et du menton, le tout s'écrasant mollemment au fond de son décolletée. La demoiselle, ne semblant pas prendre interet à toute cette boustifaille qui lui tombait sur ses deux formes debordantes, se mordait ses gros doigts boudinés et noirs de crasse, les prenants pour de bons eclairs que le vendeur avait oublier de compter, après trois tentatives infructueuses où ses dents monstrueuses tentère d'entamer sa propre chaire, la douleur de ses crocs dans son doigt lui fit se rendre compte de la supercherie. La dame voulut sortir de la chaise sur laquelle elle s'était échouée, mais ne pouvant plus porter sa propre masse, qui d'après Empy, avait doublée depuis qu'elle avait commandée ses patisseries, elle s'écrasa lourdement sur le sol, telle une horrible baleine, et regurgita les kilos de patisserie qu'elle avait engloutie, faisant la fortune du magasin à elle toute seule. Un spectacle absolument dégeulasse, même pour Empy qui avait pourtant sa part de connaissance en la matière de monstruositées, que celui de voir cette étrange montagne, nageant dans son dégueulit. La mignonne demoiselle n'en ayant toujours pas terminé, et de honte où de peur de finir noyer dans une marrée putride de gerbe, se fit dessus, ajoutant ainsi à la scene un relent de pisse et de merde tellement répugnant, qu'a ce moment même, Emp faillit rajouter son propre encas dans le dégueulit puant qui trainait à deux tables de lui (la troisieme ayant été maintenant emportée par la marée et filant en direction des étroites ruelles menant à l'astroport).
Tandis que tous les passants semblaient feindre le fait de ne pas avoir vu cette baleine échouée en plein milieu d'une bien connue patisserie, la pauvre grosse dame continuait de battre frénétiquement de ses bras et jambes pour se dépétrer de cette affreuse situation, jetant des regards suppliants à sess voisins de table, tranquilement installés dans leur confortable chaise et sirotant d'etranges et suspectes mixtures. Tous les regards fuyaient à la vue de cette horrible chose porcine qui s'humiliait publiquement en venant vomir au beau milieu d'un quartier bourgeois. Une "pauvre petite vieille" allat même cracher sur l'amas de graisse humaine qui n'en finissait de se répendre, l'accusant d'avoir volontairement fait fuir les pigeons qu'elle tentait de nourrir, ce grâce à l'odeur répugnante qu'elle rejetait de tout son corps. Empy crachant par terre à son tour, mais non pas sur le visage d'une pauvre affamé qui ne savait quoi faire d'autre de sa vie que de se rouler dans des patisseries vomies il y a peu, simplement sur le sol, et maudissant la connerie humaine, qui semblait hanter tous les esprits des êtres sur terre, chacun adoptant alors la politique du chacun pour soi.
*Bien sur je suis personne pour parler de ça comme ça, même moi, j'ai pas couru pour lui porter secours à la grosse, elle avait qu'a pas bouffer la moitié de tout le magasin... Si ça se trouve c'est pt'et même mieux qu'elle est tout dégueuler maintenat, à se rythme là, elle aurait commencer à bouffer la table qu'on aurait pensé à l'arreter. Mais bon j'allais pas lui courir après pour la sauver, à sa non!! En plus j'ai des nouvelles bottes, j'vais avoir l'air de quoi si je les dégeulasse dès le premier jour?
Mais bon, faut dire quand même, pt'et que la Grand Mère avait éxagérer, aller cracher sur Mobidick pour deux trois pigeons à la con... Toutes façon elle peut aller n'importe où chercher ses pigeons, ils sont tellement ronds que les gosses s'en servent pour jouer à la balle, c'est pas plus con que le reste comme systême D, mais c'est plutôt sur eux que la vielle aurait dût cracher.*
Comme pour vérifier ses dires, Trois stupides pigeons passèrent devant Empy dans un roulis bouli grotesque. Incapables de prendre leur envol, les trois choses rondes de 50cm de diamètre entrant en colisons aléatoires passèrent leur chemins avant de finir engloutits dans la marée putride que créaient leur bien aimée baleine blanche, n'ayant fini de leur créer tout un tas de problême.
*Bah 'tin, si ces volailes sortent de là un jour, je veux bien bouffer leurs merdes jusqu'a ce qu'elles aient chier toutes la graisse qu'elles ont dans le bide.*
Se levant pour eviter l'odeur monstrueuse et indescriptible qui emplissait ses narines, Emp pria pour qu'il trouve des relents d'égouts sur son chemin, afin que ses vétements en soient imprégnés. Tout plutôt que cette horreur. Reembrassant du regard la scene destructrice qui s'était déroulée devant lui, après s'etre levé, Il se retint de rire à gorge déployer, sachant qu'il aurait ainsi été asphixié. face à lui, au beau milieu de l'étrange chose graisseuse produisant le dégueulit dans lequel la moitié de la patisserie était ensevelit, se trainait une équipe de nettoyage entièrement robotisée, ainsi, une cireuse à sol automatique tentait vainement de faire retrouver l'eclat initial du sol en pataugeant dans la gerbe. Un étrange androïde, armé d'un balai à brosse, remuait aussi frénétiquement et déséperement que la "Dame-Vomi" au milieu de ce massacre; et un Aspirateur incroyablement, ayant choisi de venir à la souce du problême, après plusieurs mètres de natation, tentait, semble t'il, aspirer les entrailles même de la dite dame, donnant à la scene une étrange impression d'une machine automatique entrainée à faire le bouche à bouche. La baleine commençant déja à ressembler à un poisson mourrant d'asphixie.
Repartant dans la direction opposé à la patisserie, il mordit à pleine dent dans une chose étrange oubliée dans le creux de sa main. Machonant pensivement pendant quelques secondes, il fut trop tard déja, lorsqu'il comprit ce qu'il était en train de manger, et que l'horrible gout qui lui vint en bouche le ersuada de tout cracher avant la mort parf l'indigestion.
*Merde, Il est là depuis quand celui là??*
Le muffin le plus dégueu du monde, celui qu'il avait lui même commandé à la machine relayée au service automatique, avait été dévoré d'un coté par ses propres dents, geste machinal qu'il entreprenait avec son petit pain du matin. Cependant, il commençait vraiment à se demander si l'on avait pas volontairement trempé son muffin dans la mare de dégueulit qui avait commencé à quitter la patisserie et maintenant à moitié aspirer et essuyer par le service de ménage -au passage Empy put se rendre compte que l'on avait décider de bloquer le passage de la marée au moyen d'un chiffon placé à l'intérieur de la bouche de la femme baleine, qui avait, semblait t'il, reprit des forces en avalant son propre vomi sous risque de s'asphixier dedans.- et que quelqun c'était donc amusé de la petite farce du muffin au gout de vomi.
Pourtant certain que s'il reccomandait un "Muffin Campagnard" il en retrouverait hein avec le même gout monstrueux et pateux sur la langue, qui engourdissait sa langue jusqu'a la croire noyée dans la bouilie acide à l'intérieur du muffin. Empy alla quand même se plaindre devant la caisse, là où l'on réglait le prix, à la seule personne qui sembalit un tant soit peu humaine. Cependant lorsqu'il s'apprétait à ouvrir la bouche pour hurler son mécontentement, il se rendit compte de la supercherie. Aucune chance que cette chose soit humaine; Il se pencha en avant, le ventre sur le comptoir, pour se rendre compte que la soit-disant "Maggie la gentille serveuse" étaitr enfait un écritoire accroché au comptoir avec un petit magnétophone répétant inlassablement les mêmes phrases. Il en fut soufflé, décidément rien n'était artisanal dans ce bordel de petite patisserie:
*Comment ça?? Pas de vrai bouffe à l'ancienne, pas d'equipe de nettoyage, pas de Maggie la caissière et surtout: pas de chaudasse de petite serveuse venue se faire ploter les fesses!! Mais c'est dégueulasse!!!*
Alors qu'il s'appretait à sortir en courant, se maudissant d'avoir réellement salit ses bottes pour rien, il remarqua un étrange robot, qui guidait un troupeau de mouton vers une petite entrée, à la droite du magasin. S'étant persuader qu'il finirait bien par trouver un être humain, Empy s'y dirigea, il finit par trouver les derniers moutons (qui eux, semblaient être véritables et naturels, ce qui l'étonna) qui entraient dans une grande porte de hangar, surement là où se trouvait la zone de fabrication des muffisn et de tout le reste dans la patisserie. Tout était humide et sale ici, malgrès le grand nombre de clients, la patisserie semblait ne pas faire beaucoup de profit.
*soit ça, soit l'employeur est un gros Radass qui ne veut pas débourser un centime pour une putin de patisserie qui tombe en ruine.*
Bref, s'arretant devant la dite porte qui semblait bellee t bien fermée, il voulut faire demi tour, lorsqu'il entendit d'étranges sons à l'intéreiurs, des bélements apeurés et d'horrible bruits de sussion, de pression et tout un tas d'atirail qui devait servir à fabriquer un putin de muffin.
Fabrication artisanale, mon cul ouais!!
Complétement décidé à s'expliquer avec une personne -vivante et réelle- afin de se défouler sur le premier abruti d'employé qu'il découvrirait, son monstrueux muffin dans une mains, il commença à pousser de toutes ses forces l'énorme sur porte de fer qui lui barrait la route. Il savait bien qu'en toute logique des choses, un petit papy de 79 ans, ça ne soulève pas un egrosse porte de hangar, et tout le monde assistant à la scene aurait affirmé que c'était pure folie. Pourtant, malgrès l'effort monstrueux que devait lui incomber cette tache, et malgrès la sueur perlant sur son front, centimètre par centimètre, la porte se détachait de son emprise du sol, et commençait à se soulever. Continuant à pousser une porte fermée de toutes ses forces, Empy se mordit la langue par la douleur qui luio montait dans le bras, si il pouvait, il aurait utiliser ses deux mains, mais il avait besoin de l'autre pour tenir son maudit muffin , et puis, souvent, ça marchait mieux avec une seule main, il ne savait pas pourquoi. Empy était simplement certain que, ayant vécu sa vie à la ferme, il n'y avait rien de mieux pour vous mettre un bohnomme sur pieds. Alors quand on lui parle de toutes ses conneries d'histoires de "prismes", il s'enerve. Pour lui, il est juste un grand père qui, ayant toujours vécu dans la difficulté, à juste sacrée capacitée à parter des conneires de trucs lourds POINT BARRE, pas de conneries de PRISMES dans l'histoire.
Ayant finit par soulever la porte, et les forces qui s'opposaient à celle de son bras, il faillit tomber en se heurtant à ce qu'il cherchait, un idiot d'employer, qui semblait très afféré.
Le bohnomme, juste un peu plus petit que lui, tentait de lui expliquer qu'il n'avait rien à faire ici. C'était trop tard, devant lui, se trouvait une scene monstrueuse. Des moutons étaient placées devants des petites machines, leurs tenant simplement la tête, et d'une seule pression, la leur écrasant!! La morve et la bave du mouton sortant lors de la dernière pression exercé par la machine. Le reste du corps était embarqué par un employé, et tout ce qui ne ressemblait pas à des os étaient récupérés; regardant tour à tour, la scen, l'homme et son desormais effrayant muffin, Empy cracha son plus gros molard à la tête de l'employé, il n'avait plus envi de crier, juste un peu de vomir; Et, par peur de savoir cz qu'on fesair du reste du corps, où ce que représentait en réalité le "Muffin de la Serveuse" il prit la direction opposé, l'estomac complétement retourné.
A moitié dégouté par la scene repoussante qu'il venait de voir, Empy s'engouffra dans les étroites ruelles menant à l'astroport, retrouvant sur son chemin, une des trois tables embarquées par la marée de vomissure, les trois volailes mortes dans la gerbe, et un avis de recherche pour une clocharde 22 ans disparue qu'on ne retrouverait plus jamais, sauf en petits morceaux, la tête dans un délicieux muffin parfum "surprise". Tout proche de l'astroport, les dits effets di PRISM qu'Empy regnait se firent sentir, il avait fin. Il trouverait bien nà bouffer près de là où il allait.
*Tout sauf un Muffin, j'ai eu ma dose!*
Sujet: Mission de Emperor Zwerglug 
Mer 9 Juin - 15:41
